Incipit Paris, dimanche 23 mai 1982. Peter Handke (et quelques autres) m’intéressent moins par ce qu’ils écrivent que par l’exemple quils me donnent : s’ils font de telles déécouvertes, c’est que d’autres, aussi neuves, sont possibles pour moi. Indifférent à des contresens que je commets à dessein, j’adapte à mes voies leur voix. Me référant, par exemple, à mon journal et non aux notes géologiques de Sorger, personnage central du Lent retour, j’isole ceci, dans les dernières pages du récit de Peter Handke : |
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Quatrième de couverture « Il n’y a pas de rencontres, il n’y a que des rendez-vous. » Cette formule de Raymond Abellio illustre si bien la recherche, le principe même du Temps immobile que Claude Mauriac lui emprunte le titre de son tome 7, où l’on retrouve, traqués sur un demi-siècle, ces signes et ces correspondances, qui révèlent entre les événements ou les êtres tant de liens mystérieux jusque-là jamais décelés. |
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Table des matières
I. De regard à regard et de vif à vif II. Les révolutions d’un bourgeois de Paris III. Il ne faut pas tuer l’espérance IV. Méditation aux confins des rizières et des camps V. Je ne sais quoi d’irréfutable |
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