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Incipit
L’écriture cinématographique a tous les pouvoirs. Ce n’est point la faute du cinéma, mais celle des cinéastes, si les adaptations des chefs-d’œuvre de la littérature sont toujours décevantes. Shakespeare, Stendhal, Tolstoï ont un génie sans commune mesure non point peut-être avec quelques créateurs privilégiés de l’écran, mais avec ceux qui ont cru pouvoir les choisir pour scénaristes. C’est pourquoi j’ai délibérément négligé dans cette Petite littérature du cinéma les films inspirés par les maîtres anciens du drame et du roman.
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